Le champ qui sait : partage de l'information chez les mésanges

Publié le par Christiane Perreau

Cette histoire s'est passée au Royaume Uni. Au début du 20ème siècle, les bouteilles de lait n'avaient pas de couvercles et les mésanges se servaient en crème fraiche. Puis dans les années 1920, les bouteilles furent équipées de capsules d'aluminium et certaines mésanges réussirent à les enlever pour manger la crème. Puis cela s'est répandu à toute l'Angleterre.
 
Visiblement, à partir du moment où une nouvelle connaissance ou information circule dans un système, elle devient accessible à tous, dans le temps présent.
 
Nous voyons en constellation, des enfants s'identifier à un ancêtre exclu alors que personne ne leur en a parlé. Il va avoir des comportements, des émotions et parfois des symptômes voire une maladie. Il sait sans savoir car il est inconscient qu'il est sous l'influence de son système.
 
Et nous voyons des représentants totalement étrangers aux membres du système qu'ils représentent, manifester des mouvements, émotions, symptômes qui ne leur appartiennent pas. Comme le dit Thomas d'Ansembourg, l'information passe par d'autres canaux pas encore bien connus.

 

 

"La première mésange et la bouteille de lait"

Dans les villages anglais, des bouteilles de lait frais étaient traditionnellement posées par le laitier sur le seuil des maisons.

Lorsqu’une première mésange a compris que, d’un coup de bec au travers du fin couvercle d’aluminium, elle pouvait se délecter de la crème portée à la surface du lait, le comportement s’est étendu d’abord tranquillement aux mésanges du voisinage et des villages aux alentour, puis, subitement, à toute l’Angleterre, et cela à une vitesse que ne pouvait expliquer le seul mimétisme.

Visiblement, l’information était passée de conscience à conscience par d’autres canaux que les sens officiellement répertoriés."

Thomas d’Ansembourg   P 201 Qui fuis-je? Où cours-tu?.....

 

 

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